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LES POHLY ONT TRANSITE PAR ST AVOLD :
Mais non le vieux père de mon oncle, qui sans doute, faute de visa, fut refoulé à la frontière française en dépit de tous les appels au Consul de France à Sarrebruck et, je crois, d’autres démarches, dut être ramené en Allemagne. Il fut admis dans une maison de retraite juive à Francfort, dans le jardin de laquelle mon oncle devait retrouver sa tombe après la guerre.
Retour - Publié le Jeudi 05 Février 2009
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